Saint Privât d’Allier bourgarde qui ne doit vivre que grâce aux Pèlerins, plusieurs gîtes, peu de commerces, mais belle petite ville
Elle ne compte aujourd’hui qu’à peine 400 habitants et marque la sortie de la région du Velay. Peu ou pas de richesses. Il doit n’y avoir de l’activité que de mai à octobre.

Nous ne partons que vers 8h30, la journée n’est pas trop longue.
Ça descends fort dès le matin et rude pour les cuisses comme démarrage. Quelques belles allées, des vues à perte de vue.




Çà descends, ça descend, et je commence à penser que il va bien falloir remonter un jour..dur dur.



Nous qui ne croisions personnes jusqu’à présent, cela change, pas mal de marcheurs, c’est sympa, mais régulièrement je traine pour être au silence. Certains ne savent pas marcher sans parler..fort.. ce que j’aime c’est le silence de la nature.
Et voilà, on remonte, on remonte, je le savais bien….mais c’est l’heure du pique nique sieste. Pas trop longtemps, il fait frais
En contrebas nous commençons à voir Monistrol d’Allier avec ses maisons accrochées aux rochers. Village entre deux falaises de pierres et l’Allier qui sépare les versants.




On monte on monte pour arriver..enfin..sur du presque plat.. et prendre le temps de manger une bonne tarte aux myrtilles

Vue sur Saugues, située aux confins du Gévaudan, bête célèbre qui semait la terreur entre 1764 et 1767, réalité ou mythe ?





Merci de me lire..Et bonne soirée.